On me reproche ma vie cloîtrée à l'intérieur de mon ordi.
Je rétorque que c'est dans mon ordi que l'infini se trouve.
On tente de me faire remarquer que c'est sans valeur humaine et purement machiné,
Je réponds que c'est grâce à la machine qu'on reconnaît notre valeur humaine.
On ne répond rien.
Je continue en analogies: Un bas! Moelleux à l'intérieur, et plutôt ordinaire à l'extérieur. Le pied est bien dans son bas. Parfois, le pied sort nu pour respirer (who dont?) - mais pour voyager et voir du pays, il a besoin d'être habillé (au moins d'un bas). Nu pied dans la garnotte, ça sonne comme la souffrance du pied aveugle qui voulait voir.
C'est dans le millieu qu'on découvre en premier. Quand on connaît bien le milleu, allons voir autour. Alors peut-être le contour devient-il un autre millieu? Pendant tout ce temps, on est cloîtré imaginairement par ce centre d'attraction. Et ce centre d'attraction nous apportera ailleurs.
C'est un voyage vers l'infini. À qui on peut reprocher d'aimer voyager?
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