Oui, on est tous à risque en fait.
Note à moi-même: Le rire est apparement très proche du pleure, à cet effet je laisse les scientifiques se battrent pour trouver qui a raison et je ne m'embarquerai pas dans ce projet de recherche absolu (à propos de notions évidentes mais qu'il faut chiffrer) - aux coûts astronomiques et dont le comité d'éthique et le conseil d'établissement (quel établissement? n'importe lequel!) pourrait réagir éperduement.
Mais le but de mon intervention, de par ces quelques pixels noircit sur un échantillons de blanc en forme de carré, est de soupçonner que la recherche de contrat - ou d'emplois - au terme large, mène souvent à des situations où le portrait de la vie change de face.
Les derniers contrats n'ayant pas été assez payants, et toujours en constante attente d'un projet plus dense et steady, j'ai pas eu le choix de réviser mon CV et songer à de nouvelles avenues. Les options légales et faciles qui s'offrent à moi sont innombrables, mais l'idée de gagner des sous en étant dans une usine, derrière un comptoire de dépanneur, ou dans un truc trop loin de mon champs de compétence, me lève un peu le coeur.
Sur le coup, les solutions les plus saugrenues apparaissent donc: Donner mon corps à la science, aller chercher un 1500$ chez "truc pharma" en échange d'avaler des pilules, passer des prises de sang et faire pipi dans des ti pots. Ok. Deuxième option, l'enseignement. Chuis assez spécialisé (et j'aime le contact, la communication) pour y songer... Je l'ai déjà fait debord! :-)
Voilà que la possibilité de retourner à l'ordi, pour de la 3D (tâche initiale, ma spécialité) m'est réoffert pour dans 2 semaines. Je fais alors LOL, je me sens comme un suicidaire qui aller tirer sur la gachette et qui était "mindé" à le faire...
Tellement "mindé" que je risque de le faire quand même, pour esseyer! La question d'avaler des pilules a été malheureusement reportée, probablement que c'est pas aussi attirant que ça puisse le paraître. Mais la notion d'enseignement m'intrigue assez pour aller au champ de tir.
Ma femme enseigne dans une commission scolaire à Montréal, et dans probablement la pire école, et au cheminement. Elle en voit des vertes et des pas mûres, au point où plus personne ne veut y enseigner, et encore moins en suppléance. Les suppléants sont tellement rares qu'ils prennent N'IMPORTE QUI pour remplacer. Une légende veut qu'on ait apperçu un "vaguabon-look-like" qui sentait le fond de tonne, devant une classe vide, avec toute la misère du monde a parler correctement français (par l'alcool ou sa provenance extra-territoriale?)...
Si un siffleux peut siffler, je peux siffler moué aussi!
Si chuis constement à la recherche de défi, de renouveau et cie, esseyons cela: La suppléance. Si ils veulent pas de moi (serait surprenant mais puisque c'est un monde de fou j'ai des chances), je réesserai à nouveau.
Y'a du fun, et de l'argent à se faire là, pardonnez mon optimisme :-)
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