

Prologue:
J'ai écouté dernièrement une série-reportage à propos des inventions; du biface préhistorique jusqu'à notre ère moderne. Au dernier vidéo on a vu l'invention du "temps", de l'horloge. C'est le pendule qui m'a marqué...
Ce qui m'a étonné c'est la "raison" du pendule
(voici un petit e-pendule amusant avec calculs) Avant la venue des pendules, on connaissait surtout des horloges alimentées par une force "enmagasinée", soit par ressort ou par poids, que l'on devait crinquer ou remonter. Ces engins avaient une autonomie limitée, où l'intervention humaine était indispensable pour la "continuité" du mouvement. Le problème principal revenait souvent autour du fait que les forces n'étaient pas égales tout au long de leur "vie", souvent plus fort au début, plus faible à la fin.
Le pendule apparaît alors dans le mécanisme comme un "régulateur", ce n'est certe pas le régulisateur le plus précis ou le plus fiable mais il, à cette époque (passée) le plus fiable.
Sur le partage d'une discussion sur el sujeto (lol), elle mentionne le
pendule de Foucault (vaux la peine de jeter un coup d'oeil), c'est un immense pendule qui avec un seul élan peut vasciller pendant 6 heures (sans interventions). L'orientation du pendule change graduellement, en rotation, au fil du temps, sa trajectoire pointe une "horloge" au sol et son exactitude est à quelques minutes prêts...

Je pourrais faire un post de 20 pages juste sur le sujet, p-ê plus tard, mais passons du pendule au cycle du temps...
Je sais pas pourquoi, des fois dans les têtes se font des connexions entre idées, sur le coup ça paraît saugrenue, mais plus qu'on y pense, et ce, sans avoir de "preuves" on croit à un début de théorie, une intuition. Comme la globalité de l'univers est connecté, c'est d'ailleur p-ê trop facile de "lier" des phénomènes ou formes... m'enfin! Voici quand même:
J'avais en tête le mouvement du pendule, son accélération, en 2D, trace une

courbe sinusoidale (en forme de S), le parcours complet du S complet signifierait que le pendule ferait un tour, un parcours de 90 degrés signifie le quart de la longueur du "S". Le "temps" a été "inventé" grâce aux cycles, souvent des saisons et des astres. L'univers en expension est p-ê la seule unité "fixe" (qu'elle soit linéaire, exponentielle ou autre), étant donné que nous ne pouvons mesurer son cycle, par contre, tous les corps célestes, jusqu'au plus petits éléments, nous permettent de "créer la mesure" du temps.
Chaque élément transportant un cycle devient alors (dans ma fameuse intuition) un régulateur. Une façon rapide de visualiser un régulateur c'est de penser (tout autre ordre d'idée) aux étendues d'eau sur la planète, c'est toute cette eau qui emmagasine et se décharge lentement des radiations du soleil, de la chaleur, et qui assure sur terre, des climats stables. Sans eau, la température entre le jour et la

nuit serait propablement horrible et sans doute infavorable au développement de la vie.
En pensant à "cycles régulateurs", on imagine un inertie, sous la forme d'un mouvement qui créé le temps. Créer le temps, à part créer une mesure, est-ce vraiment une invention, pourrait-on imaginer lieu dans l'univers où le temps n'existerait pas? Biensûr pour des êtres vivants n'en ayant pas la concience, le temps n'existe pas pour eux, même s'il existe. Cela n'exclut pas par contre que dans un lieu où le temps ne serait pas mesurable (si tel lieu existe) nous ne serions pas nous-même "perdu" temporairement (et pourquoi pas spacialement un coup partis, combo moins cher que les deux séparément j'imagine :-).
Alors, les "cycles" terrestres (visibles à l'oeil nu ou "habillé" :-) sous la forme de régulateurs, ralentiraient la notion de temps. À la fin de mon flash, le "cycle" qui m'est apparu le plus spontanément c'est celui de la femme (le cycle "monstruel" :-). La femme agirait alors comme un régulateur... Ce qui va vraiment à l'encontre de nos données en physio et en psycho puisqu'une femme dans "ses périodes" est à un moment instable émotionnellement. On pourrait étudier la courbe des émotions sur son cycle, faire de beaux graphiques, tenter de faire un dessin significatif - je crois que la réponse n'est pas là, c'est superflu - la solution (quoi que ces équations sont sûrement trop compliquées pour moi) est dans le simple...

Le seul fait que des cycles se fassent assure la préhension du temps. Pour des applications pratiques, il faudrait comparer si les gens soumis à un plus grand nombre de cycles sont plus avantagés, ouf. Je sais même pas si j'ai envie d'aller dans cette direction (de recherche).
Comme je mentionne dans un précédent paragraphe, la tendance à imaginer l'anti-régulation, c'est de penser au pendule et d'imaginer qu'il ne bouge plus... Mais en réalité, il faut songer à ce que le pendule (comme régulateur) vient interragir dans son lieu d'immersion. Dans le cas de l'horloge, il régularise la force inégale d'un ressort ou d'un poid. C'est un régulateur d'énergie décélératrice en source d'énergie plus stable. À notre échelle, d'un point de vue philosophique, les forces qui nous entourent et nous maintiennent sont plus complexes qu'un simple ressort maintenu dans sa cavité... Tellement d'éléments peuvent nous affecter (physique, morale, psychologique), peut-être chacun d'eux à sa gamme de régulateur, peut-être en ont-ils tous en commun, une, ou plusieurs catégories.
Quand je pense au cycle de la femme, je pense aux influences des interactions entres les personnes (et avouez qu'on parle d'une influence parmis tant d'autres facteurs de la vie). Pour que ça clic entre deux individus il faut nécéssairement une compatibilité, utilisons l'expression "sur la même longueur d'ondes". Ces ondes qui se suivent et se correspondent peuvent parfois sembler bifurquer, et la situation peut-être telle que le couple, ou les amis, se séparent...

Le signe invraisemblable de la dissociation des chemins est lue souvent à partir de l'ombre 2D qu'elle projette, et quand c'est le cas, les individus risquent de se rapprocher à nouveau dans un temps futur. Imaginez un mobile en 3 dimensions, chaque élément du mobile tourne dans une direction, ce mobile (sous une lumière) projetera un ombre dans laquelle les éléments tracent des trajectoires éliptiques, tout dépendement de la position (à l'insu de la vitesse que l'on aborde pas,) les éléments paraîtrons proches ou éloignés - dans la version "ombre 2D" et "physique 3D".
Deux individus, chacun avec leur portrait 3D complexe, sous la même source lumineuse (fictive, basée la globalité la plus référentielle), vont donc apparaître approchées, éloignées, parralèles ou perpendiculaires - toujours dans la projection de leur ombre 2D - quand en réalité, il en est autrement en 3D .

On pourrait comparé notre "mobile 3D" à notre voiture, quand nous sommes derrière le volant, nous formons un organisme complexe, un mélange de mécanique et de biologie capable de grandes choses! hahaha! Mais en réalité, surtout dans le concret, tout ça ne nous permet que de nous déplacer sur un plan 2D, à une certaine vitesse (ajustable) et dans une certaine direction (ajustable), encore comparable à l'exemple de nos cycles 3D complexes qui peuvent donner des graphiques 2D... La façon de lire ces applanisages serait de noter les cycles, les parcours, comme l'ont fait les égyptiens les mayas ou les grecs avec la carte du ciel.

Le monde macroscopique est régit grâce aux lois d'Eistein, l'infiniment petit de son côté est trop chaotique et préfère les théroies quantiques. Pour notre part, entre deux eaux, perturbés pas notre bourdonnement écologique - le milieu dans lequel on vit: la société - nous tentons, à l'exemple des étoiles, de trouver un ordre, une séquence qui se répète, un cycle.
Entre longueurs d'ondes et trajectoires chaotiques, je réalises que malgré le fait que le gribouilli des ombre paraît illisible, les régulateurs eux sont visibles, et partout où ces régulateurs aggissent, non seulement les éléments, mais aussi le temps, sont canalisés en quelque chose de compatible, et un peu moins chaotique. Ça ressemble à un dessin du moins, il semble il y avoir espoir qu'une règle ou une loi le régit.

Dans la simplicité extrêmiste, la vie est une grosse roue, elle tourne tout simplement (même si de notre point de vue elle peut paraître comme un amas de billes qui se percutent dans tous les sens)... Il s'agit simplement de chercher sur la bonne dimension!